VENDREDI 1ER DECEMBRE 2000
A l'aéroport
La poupée Salimata

Enfin, le grand jour est arrivé, nous sommes tous prêts à partir, un peu excités.

Nous sommes tous partis du Centre la veille car nous devions embarquer tôt le matin. RDV à l'aéroport à 5h45. Nous avons dormi le 30 novembre au soir à Paris.

 

 

L'arrivée dans l'aéroport : Dieu merci, Mme Mathé Pontanier, notre guide, est là. les formalités de douane sont très rapides grâce à elle et à quelques billets.

Notre camion nous atttend, amputé d'une glace. Tant mieux, il fait chaud. On charge les bagages dans une nuée de vendeurs, de personnes en fauteuil, tout le monde crie. Un oeil sur le groupe, un autre sur les bagages, une main sur notre argent. Nous sommes épuisés.

 

Salimata, notre mascotte est évidemment du voyage !

Dès l'arrivée de l'avion, nous comprenons ce que veut dire "il n'y a pas de problèmes !..."c'est peut-être que justement il y en a beaucoup.

L'avion vient d'aterrir ; tous les passagers sortent directement par l'escalier de fer. Arrivent alors 6 porteurs sénégalais de l'aéroport, tous beaux, souriants, contents de nous voir et répétant dix mille fois, tout sourire, "il n'y a pas de problèmes". 10 mn après nous en sommes toujours au même point. Rien n'a évolué, nous sommes toujours, assis dans l'avion. Aucune solution n'a encore été trouvée, les fauteuils ne sont pas récupérés, rien n'a été trouvé pour remplacer l'escalier métallique. Mais il n'y a pas de problèmes !!!

Notre esprit, notre impatience et notre efficacité nous font alors prendre des décisions. Le choc des cultures ...!

 

Dakar vu de l'hôtel "Independence"
M'Bouré : "Il faut vivre cette aventure pour la comprendre. Que raconter ? L'arrivée à l'aéroport, j'ai cru mourir. J'avais peur de tomber de l'escalier métallique, appelé escabeau, grosse peur mais aussi beaucoup d'émotions : le Sénégal..."
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Nous nous dirigeons vers l'hôtel et profitons pour faire une ballade avec Mathé. C'est merveilleux. Nous faisons un grand tour de ville. Nous passons devant le marché de Sandaga sans descendre du camion, nous allons à la plage des Almadies. Premier contact avec notre premier bébé noir, il a quelques jours.

Nous arrivons à l'hôtel, la descente du camion est mémorable, bravo aux rails de M. Noury ! Nous n'avons pas les chambres prévues mais il n'y a pas de problèmes. Pas de coffre mais pas de problèmes. Pas de...

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